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, le il y a 11 années et 7 mois.
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Bonjour,
Notre société travaille dans la maitrise d’oeuvre dans le domaine de la construction et de l’installation électrique.
Actuellement dans nos étapes de vérification et de controles du travail de nos sous-traitants, nos critères de controles ne se basent pas sur des mesures -(nous nous basons sur les fiches d’autocontrole de nos sous traitants + contrôle externe par des labo accredités )
Nous avons tout de meme à disposition des appareils de mesure tel que multimètre ou ohmètre afin d’effectuer des controles (non enregistrés).Ma question est la suivante : avons nous besoin de faire vérifier ce matériel ?
Merci pour vos réponses
Bonjour Adeline,
Une réponse argumenté nécessiterait de mieux appréhender la nature et la portée de votre activité.
D’une manière générale, il reste de bon sens d’utiliser des outils de mesures fiables (gestion métrologique). Je pressens donc que votre question est plutôt orienté sur le caractère obligatoire ou non de cette vérification… Agissez-vous dans un contexte réglementé et/ou certifié ? Si oui, votre activité dépend alors d’un cadre formalisé (directive, règlement, normes, référentiel, …) fixant des exigences. Reportez-vous à ce cadre pour répondre à votre question. Si non, c’est votre bon sens qui s’exprimera !
Cordialement,
Bonjour Adeline,
Heureux de vous retrouver ici !
Si vos ESM (équipements de surveillance et de mesure) ne sont pas utilisés pour libérer les produits (dans votre cas, pour contrôler la qualité de la prestation des sous-traitants pour pouvoir la valider), vous n’êtes pas tenus de répondre, pour ces derniers, aux exigences du § 7.6 de la norme.
Il convient toutefois de s’assurer de la pertinence des contrôles que vous réalisez ou faites réaliser.
Si vous vendez à vos clients des spécifications ou des tolérances. Ces dernières doivent être vérifiées et bien souvent, des ESM sont requis.
Il serait intéressant que vous nous précisiez la nature des contrôles réalisés par les labos accrédités. Il serait pus facile de vous conseiller.
A vous lire
Bonsoir Christophe,
Je vois que vous m’avez devancé…
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Merci de votre retour à cette problématique !Je vous rejoins sur la notion de fiabilité métrologique car au-delà des exigences normatives, l’assurance de disposer d’équipement fiables permet de limiter le risque de non-conformité, même internes et donc d’être plus efficient au final !
Oui Christophe, nous sommes en train de mettre en place une certification ISO 9001.
Voila les contrôles systématiques que nous demandons au bureau de contrôle :
Contole électrique :
Les laboratoires de contrôles électrique vérifient la conformité au guide UTE de notre secteur d’activité – et nous remet une rapport de contrôle qui nous permet de demander à CONSUEL une attestion qui nous autorise à raccorder notre installation au réseau électrique public.
Contrôle de renforcement de charpente : Contrôle de la solidite des ouvrages et des éléments indissociables + solidité des existants.Nous ne vendons pas à nos clients – de spécifications ou de tolérances spécifiques.
Hello !
Adeline ton processus me semble plutôt un processus de conformité aux normes NF* (genre NF C15-100) de réalisation des installations électriques client en application d’exigences réglementaires dépendant du type de locaux concernés. Pour répondre à ta question il faudrait donc à mon avis :
– identifier précisément quelles sont les qq grandeurs mesurables en question dont ton entreprise serait redevable / quels textes et normes…
– et distinguer si leur mesure finale (réception validation…) est directement à ta charge ou assurée pour ton compte par un organisme spécialisé tierce partie.Alors la nécessité de qualifier périodiquement les outils de mesure électriques de ton entreprise pourrait être approfondie d’un point de vue SMQ. Mais comme tu dis toi-même que vous ne vendez pas de spécifications ou de tolérances spécifiques sur les grandeurs électriques des installations livrées à vos clients je ne vois pas bien en l’état lesquels de vos moyens de mesure électrique seraient effectivement concernés en terme d’exigence avérée.
A suivre.
* plutôt qu’UTE, non ?
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